Des matières brutes, du blanc et du bois pour cette maison de campagne fraichement rénovée. Le dessin des meubles est sobre, pas de poignées rajoutées, on perce les façades, pas de vernis, une huile comme simple traitement.

Dans les chambres deux dressings un pour la chambre parentale et celui pour le bébé qui arrive. Les étagères jouent le rôle de cloison et se retrouvent dans le couloir. En cherchant un roman, une histoire à rêver, on peut voir la forêt au dehors.

Dans la pièce à vivre, tout est ouvert : cuisine, salle à manger et salon mais il manque un sas, une entrée dessinée. Ce meuble est créé: c’est un claustra, un banc, un tiroir à sac, un vide poche. On s’y déchausse et l’on aperçoit le salon sans y être encore. Les lames verticales filtrent et intimisent la pièce à vivre.